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FESTIVAL TNB X LES INROCKS

"MÚA" ET "NUÉE"

Publié le 04/11/2021

 

Critique de Patrick Sourd réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB, à propos de 2 spectacles de Emmanuelle Huynh présentés au Triangle : Nuée du 10 au 13 novembre, et Múa du 15 au 16 novembre.

Ce diptyque dessine en filigrane la recherche de l’intime. Comme un trait d’union entre deux cultures qu’Emmanuelle Huynh retrace avec finesse.

« L’expérience de deux solos pour partager le sentiment d’une unité retrouvée. »

Avoir un père vietnamien et demeurer étrangère à une langue et une culture constitutives de ses racines font l’objet d’une quête récurrente dans la carrière de la chorégraphe et danseuse Emmanuelle Huynh. Dès sa première œuvre signée en 1995, l’artiste en fait son cheval de bataille avec Múa, solo imaginé à la suite d’un premier voyage au Vietnam pour arpenter les terres de sa deuxième famille. En créant aujourd’hui Nuée, qu’elle présente comme le second volet du diptyque initié avec Múa, la créatrice prolonge sa réflexion sur les mystères d’une étoffe de l’intime qui ne cesse de se tisser dans le fil-à-fil des liens qui relient, en elle, ses deux pays d’origine.

 

Reprenant à son compte la métaphore de l’acupuncture, elle évoque les méridiens invisibles qui parcourent les corps et en assurent l’équilibre. L’expérience de deux solos pour partager le sentiment d’une unité retrouvée.

 

— Patrick Sourd pour le supplément des Inrocks, octobre 2021

 

 

 

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"MÚA" ET "NUÉE"

 

Critique de Patrick Sourd réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB, à propos de 2 spectacles de Emmanuelle Huynh présentés au Triangle : Nuée du 10 au 13 novembre, et Múa du 15 au 16 novembre.

FESTIVAL TNB X LES INROCKS

"MÚA" ET "NUÉE"

Publié le 04/11/2021

 

Critique de Patrick Sourd réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB, à propos de 2 spectacles de Emmanuelle Huynh présentés au Triangle : Nuée du 10 au 13 novembre, et Múa du 15 au 16 novembre.

Ce diptyque dessine en filigrane la recherche de l’intime. Comme un trait d’union entre deux cultures qu’Emmanuelle Huynh retrace avec finesse.

« L’expérience de deux solos pour partager le sentiment d’une unité retrouvée. »

Avoir un père vietnamien et demeurer étrangère à une langue et une culture constitutives de ses racines font l’objet d’une quête récurrente dans la carrière de la chorégraphe et danseuse Emmanuelle Huynh. Dès sa première œuvre signée en 1995, l’artiste en fait son cheval de bataille avec Múa, solo imaginé à la suite d’un premier voyage au Vietnam pour arpenter les terres de sa deuxième famille. En créant aujourd’hui Nuée, qu’elle présente comme le second volet du diptyque initié avec Múa, la créatrice prolonge sa réflexion sur les mystères d’une étoffe de l’intime qui ne cesse de se tisser dans le fil-à-fil des liens qui relient, en elle, ses deux pays d’origine.

 

Reprenant à son compte la métaphore de l’acupuncture, elle évoque les méridiens invisibles qui parcourent les corps et en assurent l’équilibre. L’expérience de deux solos pour partager le sentiment d’une unité retrouvée.

 

— Patrick Sourd pour le supplément des Inrocks, octobre 2021

 

 

 

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