Théâtre National de Bretagne
Direction Arthur Nauzyciel
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Publié le 11/10/2022
Critique réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB 2022, à propos de Sirènes de la Cie 52 Hertz, du 19 au 20 novembre.
Hélène Bertrand, Margaux Desailly et Blanche Ripoche nous offrent la possibilité de découvrir des sirènes en vrai, dans le vivarium d’un jardin d’acclimatation. Rien que ça...
C’est une idée qui fait envie. Les 3 comédiennes et créatrices rennaises de la Cie 52 Hertz se sont mis en tête, pour leur tout premier spectacle, d’incarner ces étranges créatures mythiques, hybrides et désexualisées pour mieux déconstruire leur figure fictive et poser les questions de la féminité et de l’animalité. La pièce s’impose à la croisée de la performance clownesque, du théâtre et des arts plastiques. L’humour y côtoie la poésie et la philosophie se mêle à l’émerveillement. Ces sirènes-là, que l’on ne s’y trompe pas, sont d’un genre nouveau et comptent bien se faire une place dans nos imaginaires collectifs en bousculant les clichés gravés par les anciens. Elles s’offrent à nos regards hagards pour mieux s’émanciper. Et, espérons-le, pour prendre le large et nous faire rêver autrement.
— Critique de Igor Hansen-Løve, septembre 2022
© Clémence Lesné
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Critique réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB 2022, à propos de Sirènes de la Cie 52 Hertz, du 19 au 20 novembre.
Publié le 11/10/2022
Critique réalisée pour le supplément des Inrocks consacré au Festival TNB 2022, à propos de Sirènes de la Cie 52 Hertz, du 19 au 20 novembre.
Hélène Bertrand, Margaux Desailly et Blanche Ripoche nous offrent la possibilité de découvrir des sirènes en vrai, dans le vivarium d’un jardin d’acclimatation. Rien que ça...
C’est une idée qui fait envie. Les 3 comédiennes et créatrices rennaises de la Cie 52 Hertz se sont mis en tête, pour leur tout premier spectacle, d’incarner ces étranges créatures mythiques, hybrides et désexualisées pour mieux déconstruire leur figure fictive et poser les questions de la féminité et de l’animalité. La pièce s’impose à la croisée de la performance clownesque, du théâtre et des arts plastiques. L’humour y côtoie la poésie et la philosophie se mêle à l’émerveillement. Ces sirènes-là, que l’on ne s’y trompe pas, sont d’un genre nouveau et comptent bien se faire une place dans nos imaginaires collectifs en bousculant les clichés gravés par les anciens. Elles s’offrent à nos regards hagards pour mieux s’émanciper. Et, espérons-le, pour prendre le large et nous faire rêver autrement.
— Critique de Igor Hansen-Løve, septembre 2022
© Clémence Lesné
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