Théâtre National de Bretagne
Direction Arthur Nauzyciel

CINÉMA

Dim 22 aout 2021 16h00

LA GUERRE DES BOUTONS

DE YVES ROBERT

FRANCE

1962

1H30

VF

COMÉDIE

FRANCE

1962

1H30

VF

COMÉDIE

Cet été, Malavida vous propose de redécouvrir 3 classiques du cinéma jeune publique lors d'un cycle Enfants Terribles


→ À partir de 6 ans

Né en 1920 à Saumur, l’acteur, réalisateur et producteur Yves Robert a débuté au théâtre dans les années 40 où il se distingue dans des pièces de qualité, tout en arpentant la scène des cabarets. En tant qu’acteur, il est repéré au cinéma dans Juliette ou la clé des songes de Marcel Carné en 1950. Il s’intéresse assez vite à la réalisation avec des courts-métrages et la mise en scène d’un premier long intitulé Les hommes ne pensent qu’à ça (1954).

Dès lors, il va connaître quelques succès comme Ni vu, ni connu (1957) et Signé Arsène Lupin (1959). Mais la reconnaissance arrive avec le triomphe de La guerre des boutons (1961) qu’il coproduit avec sa propre société nommée Les Productions de la Guéville. Il enchaîne ensuite les succès avec Bébert et l’omnibus (1963) et surtout Alexandre le bienheureux (1967) qui fait de Philippe Noiret une star et révèle Pierre Richard.

Après quelques échecs, il revient en pleine forme avec le diptyque Le grand blond avec une chaussure noire (1972) et Le retour du grand blond (1974). Le succès est confirmé par un autre diptyque intitulé Un éléphant, ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977). Après la déception du Jumeau (1984), il adapte pour le grand écran l’œuvre de Marcel Pagnol dans un nouveau diptyque formé par La gloire de mon père (1990) et Le château de ma mère (1990). Son dernier succès sera une comédie intitulée Le bal des casse-pieds en 1991.

SYNOPSIS


Entre les enfants de 2 villages voisins, les Longevernes menés par Lebrac et les Velrans, menés par l’Aztec, c’est la guerre. Mais le jour où les Velrans apostrophent Grangibus et Tigibus d’une insulte jusque-là inconnue des Longevernes, pourtant experts en jurons fleuris, la guerre prend un tour nouveau. La dernière grande bataille se traduit par la capture d’un prisonnier qu’il faut punir de manière exemplaire. Lebrac se montre particulièrement retors : malheur au vaincu, un Velran, à qui l’on arrache tous ses boutons. En ces temps difficiles, les vêtements sont précieux et l’humiliation totale. La guerre n’est pas près de s’arrêter.

FRANCE

1962

1H30

VF

COMÉDIE

GÉNÉRIQUE

Réalisation

Yves Robert

Avec

Andre Treton, Martin Lartigue, Michel Galabru