Théâtre National de Bretagne
Direction Arthur Nauzyciel
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SPECTACLES
Dim 06 fév 2022 16h00
Cinéma du TNB
Tarifs 12€ / 6€
Interdit au moins de 16 ans (visa 1971)
Coproduction
Cinéma du TNB
Tarifs 12€ / 6€
Interdit au moins de 16 ans (visa 1971)
Création en coproduction avec le Festival Travelling
Après l’envoûtante mise en son du film Häxan en 2020, Barði Jóhannsson revient au TNB avec la version restaurée du film fantastique de 1971 d’Harry Kümel avec Delphine Seyrig.
Restauré l'an passé par le distributeur Malavida Films, Les Lèvres rouges réinvente le mythe de la comtesse Elisabeth Bathory. Valerie et Stefan, immobilisés à Ostende, séjournent dans un vaste hôtel désert en cette morte-saison. Le couple fait alors la connaissance de l'inquiétante comtesse Bathory et de sa protégée Ilona, ténébreuses créatures de la nuit. Insidieusement, elles envoûtent d'abord le jeune homme, fasciné par des meurtres mystérieux perpétrés dans la région, puis Valerie, intriguée par l'étrange relation qui unit les 2 femmes...
Du fantastique au féminin, une comtesse vampire interprétée par la divine Delphine Seyrig, de l'érotisme, de l'ésotérisme, du sang, des larmes et la plage d'Ostende désertée.
Après Häxan de Benjamin Christensen, Barði Jóhannsson s’attaque à l'œuvre poétique et envoûtante de Harry Kümel dont la fascinante bande originale a été créée par François de Roubaix. Il compose et interprète sur scène une nouvelle bande son, accompagné d’un violoniste et d’une violoncelliste.
Cinéma du TNB
Tarifs 12€ / 6€
Interdit au moins de 16 ans (visa 1971)
(Ré)écouter l'émission Boomerang d'Augustin Trapenard « Prodigue Delphine Seyrig » sur France Inter
Musique
BARÐI JÓHANNSSON
Réalisation
HARRY KÜMEL
Bande originale du fim
FRANÇOIS DE ROUBAIX
Sur scène
KARL JAMES PESTKA (violon)
UNNUR JÓNSDÓTTIR (violoncelle)
BARÐI JÓHANNSSON (électronique)
À l'écran
DELPHINE SEYRIG
JOHN KARLE
DANIELLE OUIMET
Production : BANG EHF. Production exécutive : Théâtre National de Bretagne. Coproduction : Association Clair Obscur / Festival Travelling
Avec l’aimable autorisation de Harry Kümel.
Remerciements à Harry Kümel, Benjamin de Roubaix et Malavida Films.