Théâtre National de Bretagne
Direction Arthur Nauzyciel
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CINÉMA
FRANCE / ESPAGNE
2020
2H27
VOSTF
DRAME
→ Prix du jury pour le meilleur scénario et le meilleur réalisateur au Festival du Film de San Sebastián 2019
→ Prix FIPRESCI de la critique internationale 2019
Arregi, Garaño et Goenaga ont toujours travaillé ensemble mais Une vie secrète est le premier film qu’ils réalisent à 3. Leur collaboration date de la fondation de leur société de production Moriarti, montée il y a plus de 15 ans. Leur film précédent Handia, réalisé par Arregi et Garaño, était lauréat du prix spécial du jury de la 65e édition du Festival du film de San Sebastian et a remporté 10 Goyas. Leurs 2 premiers films, Loreak (retenu pour représenter l’Espagne aux Oscars en 2015) et 80 jours (qui a remporté plus de 30 prix internationaux) ont été réalisés par Garaño et Goenaga.
Espagne, 1936. Higinio, partisan républicain, voit sa vie menacée par l’arrivée des troupes franquistes. Avec l’aide de sa femme Rosa, il décide de se cacher dans leur propre maison. La crainte des représailles et l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre condamnent le couple à la captivité.
Les Fiches du Cinéma ★★★★☆
En s’inspirant de faits réels, le trio Arregi / Garaño / Goneaga livre une subtile réflexion politique, mais aussi et surtout une très belle histoire d’amour.
À LIRE SUR LES FICHES DU CINÉMA
Le Monde ★★★☆☆
Trois réalisateurs, habitués àtravailler ensemble, ont écrit etréalisé ce film sans pathos ni affect, tiré de faits réels. Il a raflé un nombre incalculable de récompenses au Festival de SaintSébastien en 2019. C’est mérité.
À LIRE SUR LE MONDE
"Caméra au poing, cadre serré sur le corps de l’acteur, les cinéastes Jon Garaño, Aitor Arregi et José Mari Goenaga imposent dès l’ouverture de se mettre à son allure, d’abord précipitée, mais bientôt circonscrite à un espace très réduit. Le film se fait alors le récit d’une fuite statique, loin des regards d’un ennemi dont on ne sait pas grand-chose, l’action étant concentrée exclusivement au sein de la cachette. Dans l’inertie toute particulière de son confinement, Antonio de la Torre se révèle pourtant toujours en mouvement, la narration lui imposant – de façon un peu artificielle – des situations qui l’obligent à agir." — Bastien Gens, Critikat
À LIRE SUR CRITIKAT
Réalisation
Jon Garaño, Aitor Arregi, José Mari Goenaga
Avec
Antonio de la Torre, Belén Cuesta, José Manuel Poga